Travail à l'école puis petit dîner avec Alexandra et Olivier à Elaïs. Après-midi repos!
Le soir, nous étions invités pour un cocktail de bienvenue chez notre directrice. En toute simplicité... Boissons à gogo... Zakouskis raffinés et ambiance chaleureuse. De quoi démarrer l'année scolaire en grande forme.
En suite, nous nous sommes retrouvés O Poèta, bar d'expats, pour fêter l'anniversaire d'Amélie, collègue de géo. La soirée se passe calmement. Les séquelles de la veille sont encore bien présentes...
Le lendemain, Maru, collègue dont je vous ai déjà parlé, nous reçoit à son appartement, dans l'immeuble de l'ambassade américaine. Nous sommes 5: Amélie, Virginie, Olivier, So et moi.
A midi, le chauffeur nous charge et nous remontons tout le boulevard du 30 juin jusqu'à la gare (rond-point de l'ancienne statute équestre de LéopoldII). Au pied de l'immeuble, deux gardes nous demandent d'arrêter le moteur de la voiture (alors que c'est un véhicule de l'ambassade et qu'ils connaissent le chauffeur). Ils ouvrent le capot, passent un miroir sous l'auto... Puis nous lèvent la barrière.Au 4ème étage, notre collègue nous accueil avec chaleur et gentillesse. Un maitre d'hôtel et une dame en cuisine l'assiste pour nous recevoir comme on reçoit les plus grands diplomates...
Deux heures plus tard, repus, Maru nous propose une balade digestive. Et nous nous rendons sur le toit de l'immeuble! Nous découvrons une vue rare sur Kinshasa. Le fleuve, Brazzaville, la gare, la stade (jour de match: les Léopards se verront recalés par l'Egypte), et la ville, calme! Un dimanche...
Le reste de l'après-midi sera dédié aux courses à travers toutes la ville avec Alain. En effet, le dimanche est le seul jour sans embouteillage...
Le soir, nous nous couchons fatigués mais enrichis par toutes ces rencontres et ces découvertes.
Mais j'en entends certains d'ici dire que ce n'est pas ça la vraie vie congolaise... Ils ont raison. Pour le moment, nous essayons de nous intégrer à notre nouveau milieu professionnel. On Apprend aussi à s'organiser et à fonctionner dans cette mégapole hors normes... Alors, biensur, nous apercevons tous les jours la pauvreté, la population et nous gardons les yeux grands ouverts face à ces réalités. Ces rencontres-là viendront bientôt... Mais chaque chose en son temps!
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